Petit être maladroit et jolie fille ~ [ PV Shizuka | Sachi ]

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Quatre heure du matin... Quelle idée de se rêveiller à une heure pareille...
Sachi bailla doucement, sa main devant la bouche pour, ne faisant pas le moindre bruit. Il se leva tranquillement, passa une main dans ses cheveux pour les remettre en place devant ses yeux, il ne supportait vraiment pas qu'on puisse le voir.
Dans sa chambre aux murs bleu pâle, il n'y avait pas grand chose, aucune décoration, un lustre à l'ancienne dans un style européen. Un petit bureau en ébène dont la lampe de chevet n'avait pas été éteinte, il avait veillé jusqu'à très tard dans la nuit, une des servantes avait dû venir voir ce qu'il faisait et l'avait transporté dans son lit.

Il sonna une cloche dorée dont le son cristallin fit venir immédiatement son ancienne gouvernante, une des seules personnes du service à savoir que Monsieur était en fait Mademoiselle.

« Bonjour Monsieur... »
« Bonjour Juliet... j'aimerais prendre mon bain... peux-tu le préparer ? »
« Mais il l'est Monsieur. »

Juliet a toujours été d'un professionnalisme surprenant, elle prévoit tout, enfin... ce n'était pas vraiment difficile vu qu'il faisait toujours les mêmes choses à son rêveil.
Se dirigeant vers la salle de bain, il s'enferma à clef, ce que prenaient pour une marque de coquetterie cachée les servantes était en fait une précaution plus que nécessaire, il ne fallait surtout pas que qui que ce soit puisse se douter que le jeune homme de la maison n'était pas un jeune « homme ».

Son bain était parfaitement chaud, il se lava en prenant tout son temps, il devait être impeccable, sans la moindre impureté qui pourrait poser problème sur son apparence irréprochable.
Au sortir du bain, il se regarda dans un des immenses miroir accroché au mur, il se détestait, ou plus exactement, il détestait ce qu'il était, ni homme, ni femme...
Alors qu'il se décidait à sortir de la salle d'eau, il remarqua un détail qui le dérangea énormément.

« Iedike ! J'ai besoin de toi... »

Il sortit sortit d'un pas rapide et bouscula la jeune femme qui s'était précipitée pour répondre à son appel.

« Oui Monsieur ? »

Sachi lui montra sa main gauche, et après un rapide examen, elle sourit et l'emmena dans son « atelier », le jeune homme avait en effet un ongle cassé...

Le petit déjeuné se déroula en compagnie de sa mère, son père était allité et ne prenait son premier repas de la journée qu'à huit heure trente-cinq précises. Puis il se levait, enfilait sa robe de chambre et allait embrasser sa femme. Ensuite il prenait un bain aux huiles essentielles pour se regénérer, pour après lire ses journaux qu'on lui livrait à dix pile, il les lisait toujours en buvant du thé anglais.
Sachi ne voyait son père que rarement, ils n'avaient pas les même horaires...
Vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon bleu foncé, il n'avait pas encore mis sa cravate, ne souhaitant pas avoir quelque chose de trop serré au niveau de son cou, il croquait délicatement dans les toast, un petit déjeuné à l'anglaise, rappelant les origines de son paternel, dont il avait hérité par ses yeux, ses yeux d'un bleu profond, pas du tout japonais contrairement à ses cheveux, hérités de sa mère.
Et cette dernière qui le dévisageait en silence.

« Tu sais... »
« Oui mère, je sais, il n'est pas nécessaire d'en reparler. »

La grande dame sur laquelle le temps commençait peu à peu ses ravage sourit gentiment, tous les sacrifices que faisait sa progéniture pour son époux était parfois stupéfiants...
Vidant sa tasse de thé, il se leva et partit dans sa chambre finir de se préparer. Il avait encore une heure devant lui.

Sept heure.
Prévenant inutilement son chauffeur qu'il était temps d'y aller -et oui c'est une équipe de professionnels chez les Nightroad, on sait toujours à l'avance ce que veulent les membres de la famille.
Mickael était le fils unique de Juliet, il était très pointilleux sur les petits détails généralement particulièrement inutiles...
Il y avait une demie heure de trajet, et la voiture noire s'arrêta devant l'établissement. Sachi en descendit en rabattant correctement ses méches devant ses yeux. À cette heure là seulement quelques éléves étaient déjà arrivés, et c'est toujours à ce moment là que le jeune homme arrivait. Il pouvait ainsi se fondre dans la masse quand le gros des étudiants arrivait.

S'asseyant sur un banc à l'exterieur, il reprit la lecture qu'il avait abandonné la nuit précédente, ce texte l'absorbait tellement qu'il en oubliait ce qui pouvait se produire autour de lui.
Regardant machinalement et régulièrement sa montre, ce n'est que quand il remarqua l'heure qu'il sursauta. Si il voulait arrivé dans une tranche d'horaires moyenne, il devait se dépécher.

Se précipitant dans les couloirs il croisa une ravissante jeune femme.
Ah... elle était connue dans le lycée, tant par sa beauté que par sa franchise... jusqu'alors Sachi n'avait pas eu l'occasion de la rencontrer vraiment, mais de ce qu'on avait dit d'elle, il l'a reconnue aussitôt. Leurs regards se croisèrent l'ombre d'un instant.

Inconsciemment le rouge lui monta aux joues, il n'arrivait pas à cacher ses sentiments complétement, et peu importe ce qu'il pouvait ressentir, ses joues s'empourpraient.
Marcher vite sans regarder devant soit n'est pas vraiment conseillé, surtout quand on est occupé à vider son esprit.

*je ne dois pas rougir, je ne dois pas... *

Sbing ~
Le jeune homme se cogna violemment la tête dans le menton d'un homme passant par là, bien plus âgé que lui l'homme le repoussa brutalement et le pauvre garçon tomba à terre.

Rouge de honte devant sa maladresse, il passa sa main sur son front en regardant s'éloigner celui qu'il venait de percuter. Sentant une bosse se former au dessus de ses yeux, il eut une légère larme, il ne pouvait pas aller voir l'infirmière, elle lui relèverait probablement ses mèches pour découvrir son visage et cela, c'était hors de question !

Invité

La sonnerie stridente d’un avenir incertain venait encore de retentir, inlassablement, comme chaque matin. A croire que les éléments s’étaient ligués contre chaque être pour leur insuffler un peu de leur vie à chaque réveil, oui, car pour la donzelle qui s’étirait paresseusement dans son lit, il semblait qu’on lui coupait chaque jour un peu plus de sa maigre vie en la privant des heures de sommeil qu’elle apprécierait passer dans ses draps. Ceux-ci, aux motifs étrangers offraient un contraste des plus étonnants dans la chambre où d’innombrables photograhies ornaient les murs. Le papier peint aux teintes vertes claires aida tout de même la jeune fille à se lever convenablement, enfilant ses chaussons d’un air grognon, elle pensa un instant rejoindre Morphée pour qu’il lui conte d’autres beaux récits mais elle se ravisa en sentant le coin de la sa table de chevet contre son orteil, étouffant de ce fait un cri qu’elle aurait avec joie poussé mais son père dormait. Lui, ce seul être qui ne l’avait point abandonné. Il sommeillait dans une des chambres de la grande demeure, étant rentrée tard la veille, la fautive l’aurait été en jouant les furies pour priver chacun d’un de ses droits fondamentaux, en l’occurrence celui de dormir.

La porte s’ouvrit, celle-ci, entrebaillée probablement par la servante venait de s’ouvrir de plein fouet et ce fut le chien de la maisonnée qui vint sautiller autour de la belle en réclamant attention et amour. Car oui, même si une certaine nostalgie pouvait se lire sur les visages des Takahashi, on ne prononçait plus le nom de cette cause, on ne mettait plus mot sur son malhonnête comportement, on continuait à avancer avec cette absence. En tout cas, du côté de Shizuka, il n’y avait guère de problèmes, sa mère était rayée de la surface de la terre à ses yeux, plus personne ne viendrait lui conter les besoins maternels, son absence n’avait fait que renforcer la demoiselle qui l’en remerciait à juste titre.

La voix de la blondinette s’éleva alors, intimant un certain comportement à son animal de compagnie, celui-ci venant de s’attaquer à l’une de ses chaussures neuves :

« Clash, cela suffit. T’as déjà assez bousillé mes affaires comme ça. Viens gros pépère, on va manger plutôt. »

Son père, un fan de groupes de rock américains avait trouvé ce prénom adéquat pour l’animal, chose que sa fille n’avait réprimé bien qu’elle pense cela un peu stupide.

« Mademoiselle, surveillez votre langage, vous avez un rang et une réputation, que direz votre père s’il entendait cela ? »

Préférant ne point répliquer, la lycéenne laissa la femme marmonner et protester face à son comportement tout en préférant, accompagné du virtuose de la chaussure, descendre les escaliers aller nourrir l’animal plutôt que manger le plateau que venait de lui monter sa, en quelque sorte gouvernante. Il lui semblait inhumain de déjeuner le matin, l’estomac serré, elle ne pouvait jamais rien avaler, peut-être une sorte de privation et légère vengeance face au départ de celle qui, un beau matin, n’était plus là…Son odeur n’hantant plus les lieux, ses talons ne râclant plus le sol, sa voix mélodieuse n’illuminant point les couloirs…En somme, un matin naturel chez les Takahashi, tout comme le trajet et l’arrivée de l’héroïne, elle se faufila entre les étudiants, se frayant un chemin dans ses vêtements qu’elle trouvait affligeants jusqu’au couloir où là, elle pensait déjà se caler dans les jardins pour continuer sa nuit, préférant éviter un cours qui l’ennuyait sans qu’elle en ai déjà ouïe le début. Seulement, ses plans allaient être bousculés, tandis qu’une petite sotte l’interpelait pour qu’elle lui prête ses notes d’un cours qui, pour une fois, avait été à la hauteur de ses besoins, une scène des plus peu orthodoxes se déroula devant ses yeux affligés. Un élève qu’elle avait quelques fois croisé sans pour autant s’y attarder ( vous savez, la jeune n’a que faire des autres, tant que son petit monde la satisfait ) venait de se cogner maladroitement face à un énergumène qu’elle ne pouvait souffrir. La devise de la très chère consistait à ne s’occuper que d’elle mais le regard de ce jeune garçon semblait tellement loin, tellement différent que quelque chose la retint, de plus, un tel nigaud ne devrait avoir le loisir de s’enfuir aussi lâchement.

« Hey ! Face de poulpe, ça t’arrive de t’excuser ? Ou t’es bon qu’à ventouser les plus sottes ? »

Shizuka se félicita de sa réplique des plus redondantes bien que les critiques de sa domestique lui revenaient encore en tête, une moue dédaigneuse se peignit sur son visage alors qu’elle se reprenait.

« Oh, pardonnez-moi très cher, je rectifie : Très peu distingué jeune babouin à la pilosité affligeante, vous vient-il parfois à l’esprit de prétendre vous confondre en excuses face à vos agissements ? Non ? Peut-être êtes-vous l’un de ces gentlemans qui courtisent les viles demoiselles pour n’obtenir d’elles qu’un mélange de salive ? De ce fait, mon ami que vous venez de bousculer peut se prétendre bien plus droit et mâture que vous qui préférez l’amusement aux études ? »

De son pas des plus éloquents et pourtant inaudible, la créature s’avança jusqu’au bousculé. Se hissant à sa hauteur, elle aurait pu tendre sa délicate main et lui offrir une honte des plus mémorables, une fille aidant un garçon, le masochisme serait inversé à l’extrême et pas très apprécié. Au lieu de cela, elle s’autorisa un sourire et prononça quelques mots :

« Mon ami, vous au moins, vous préférez la pacifisme à cette forme de brutalité qui rend les hommes fous, il y a de quoi vous en féliciter. »

Joignant un clin d’œil à ses paroles, le regard mauvais qu’elle lança cependant à la foule dissuada les plus tenaces à résister, et ceux-ci passèrent vite leur chemin avant que la tornade Shizuka se déchaîne. On allait encore trouver à redire sur son comportement, sa façon de parler, ses manières et son envie de toujours se mettre en avant, mais elle n’en avait que faire. Sur l’instant, le gorille allait-il réattaquer ou pourrait-elle respirer et se préoccuper du jeune homme à terre ?

[ J'avoue que je me suis bien marrée en te répondant =) ]

Invité

L'homme brutal ne tenta pas de répliquer, visiblement la princesse l'avait suffisamment humilié et il ne préférait pas vouloir prendre une nouvelle raclée aussi impressionnante de suite. Car elle avait, en quelques phrases réussit à le ridiculiser de manière forte, en public et ne lui laissant aucune chance de répliquer, sauf si il voulait bafouiller quelques mots sans profondeur.
On pouvait féliciter, malgré son léger manque de bonnes manières, la dominatrice qui avait insulté de manière très bestial le garçon en mettant d'un côté son physique, d'autre part sa virilité en doute profond, alors qu'il n'avait rien à douter, ce jeune homme était une sous-merde. Mais cette jeune femme qui l'avait aidé était décidément atrocement belle, de ces lèvres d'où sortir ses doux sons, ne se présentait qu'une envie, les faire taire pour mieux les savourer.

« Mon ami, vous au moins, vous préférez la pacifisme à cette forme de brutalité qui rend les hommes fous, il y a de quoi vous en féliciter. »

Sachi se contiens tout de même, il était tout simplement hors de question qu'il embrasse la demoiselle, s'était comme la violer de manière détournée, elle serait fortement outragée.
Les joues du jeune homme étaient toujours teintées d'une couleur rouge d'une teinte soutenue. Il lança un regard énamouré à sa sauveuse improvisée.

« Je... euh... suis confus... »

Il se releva rapidement, il avait, à son grand désarrois, attiré tous les regards sur lui, et l'arrivée de la demoiselle ne l'avait pas aidé. Il répondit d'un ton un peu trop rapide et d'une manière trop courante qu'il la remerciait. Alors qu'il ne souhaitait qu'une chose, repartir rapidement et se faire oublier, il retomba.

Le choc avait visiblement été plus violent que prévu, et le coup un peu trop bien placé, sa tête qu'il, pendant qu'il était assis, avait oubliée, trop impressionné par le discours de son agréable sauveuse, lui rappelait son existence avec un peu trop de brutalité.

Cette fois, ce n'est pas sur son adorable postérieur qu'il tomba, mais la tête la première, ce qui eut pour effet d'un double choc, et malheureusement pour lui, d'un évanouissement. ( boulet ! )

Ce n'est que quelques dizaines de minutes plus tard qu'il se rêveilla, à l'infirmerie, avec, sur un délicat fauteuil à ses côté, la charmante jeune femme.
Visiblement il lui servait d'excuse pour éviter d'aller en cours, il allait encore se faire remarquer...
Alors qu'elle ne semblait pas avoir remarqué son rêveil, il s'adressa à elle.

« Mademoiselle, je vous remercie pour ce que vous avez fait pour moi... je vous suis extrèment reconnaissant... »

Ses yeux d'un bleu étonnant ne dégageaient aucune expression, il sursauta en revanche pour la clarté de sa vision.
Bien entendu l'infirmière lui avait relevé ses mèches pour pouvoir le soigner, et son visage était alors totalement découvert. Lui qui était si timide se sentit alors horriblement géné, ses rouges se retrouvèrent leur couleur rouge. Il tenta tant bien que mal de cacher à la belle son visage.
Sachi se redressa, d'une par pour faciliter sa tache d'autre par pour être «égal» à la jeune femme, chose qu'il ne serait pas de sitôt.

[ post médiocre T.T ]

Invité

Ce n'est rien, pas besoin de me remercier. Ce fut avec plaisir. Et puis, je ne suis pas non plus la pire des garces, je n'allais pas te laisser là-bas faire office de carpette pour tous ces imbéciles.

Et Monsieur le blessé de guerre se sent-il mieux ? D'ailleurs, ce héros que l'on devrait décorer pour avoir encaissé avec brio ces coups a-t-il un nom ?

Invité

La jolie jeune fille, en plus de ridiculiser copieusement ses camarades, semblait aimer le tourner en dérision. Par ce qu'elle pensait peut être une preuve d'humour ou d'affection étant plutôt humiliant.
Car un homme se doit d'affirmer sa virilité ! D'assurer tout, et de ne jamais devoir la moindre chose à une femme plus qu'insolante... non, franchement, je deviens limite machiste sur ce point là. Enfin bon, il ne doit en aucun cas qu'un homme doive quelque chose à une femme, et que celle-ci continue à le ridiculiser en priver !
Voilà exactement ce qu'essayait de penser le jeune homme sans y parvenir. À ces yeux sa sauveuse brillait, non pas comme un phare trop aveuglant qu'il en devenait agaçant, mais d'une lueur douce et tranquille, quelque peu, il faut l'avouer, piquante.

Retrouvant son sang froid et son impassibilité, il se redressa, heureux qu'on ne l'ait pas dévêtu.
S'inclinant avec grâce devant la belle demoiselle, il lui embrassa le dos de la main.

« Je me prénomme Nightroad Sachi, mais vous pouvez m'appeler par mon prénom si vous le désirez. »

Regrettant de ne pas avoir de fleurs à offrir à l'ange, il s'inclina de nouveau et lui tendit une main, comme pour lui proposer une danse.

Tout ceci peut vous paraître fortement étrange, ce petit être timide devenait soudainement comme sûr de lui. Mais détrompez vous, intérieurement il palpite, hésite, se sent faible et ridicule, ce que l'on pourrait prendre pour une assurance stupéfiante n'était d'autre qu'une des multiples facettes sans vie de sa personnalité.
C'était sans le moindre sourire qu'il s'était présenté, c'était avec une soudaine froideur et une perte totale de couleur qu'il avait invité la belle à se promener. Ses yeux dissimulés de nouveau, ses joues ayant perdues leur délicieuse couleur pourpre, il redevenait le robot qu'il était à chaque fois qu'il devait apparaître en public pour représenter son paternel.
D'une perfection froide et distante, presque repoussante pour ceux en manque de lumière.

En effet, la chaleur de la délicieuse jeune fille avait eu un effet néfaste sur le mental du jeune, lui rappelant, après son instant d'illumination, qu'il était plus que faible.
Ne pouvant se permettre de pleurer en public, son côté mécanique avait repris le dessus et il ne pouvait s'empêcher d'émettre des hurlement intérieurs.

« Peut être serions-nous mieux installés à l'extérieur pour discuter Mademoiselle Takahashi... »

Il n'avait pas eu à demander l'identité de la jolie princesse, elle était connue pour son esprit ferme et sa manière de s'exprimer sans détours, si il n'avait point assurer devant elle, il se devait désormais d'être un véritable homme, viril à souhait ( ou pas ).
D'une démarche qui se voulait assurée mais qui restait faite pour être discrète, il guida la belle vers l'extérieur, où, après lui avoir proposé une invitation future dans son miroir il entreprit de discuter.

« Je préfère vous prévenir que mes intentions sont purement amicales, je souhaite juste faire plus amplement votre connaissance... remarque, vous préfèrerez peut être que cela soit en extérieur, où vous serez plus à l'aise. »

Inviter ainsi une personne chez lui était passablement étrange, il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il n'avait plus inviter personne dans ses appartements sans que se soit pour parler affaires et entreprises pour son paternel toujours souffrant.
Ah mais que la sympathie et un poison qui le pervertie, il se prend à espérer une amitié avec quelqu'un, mais quelle stupidité il ne doit pas faiblir devant les autres !

[ Te faire attendre pour çà, j'ai honte T.T ]

» Petit petit, par iciiii !
» "Un bal ? eumh ...." [Sachi Nightroad + ?]